NINLIL, fondement et base du signe de l’Epi (vierge) / Astrologie
NINLIL, fondement et base du signe de l'Epi (vierge) : RETOUR AUX SOURCES
Une assimilation ratée.
Les deux articles publiés en 2009, dans Astroemail, sur les origines symboliques du signe de la Vierge traçaient sa filiation des babyloniens aux grecs, puis ensuite aux romains, via des écrits araméens originaires de Palestine, antérieurs de 2 siècles environ à la naissance de Jésus le prêcheur dans la même aire géographique.
Un assyriologue du CNRS, Roland Lafitte, s'intéressa lui aussi à la particularité des origines du signe de la Vierge, dont la dénomination première était l'Epi, correspondant à la principale étoile de cette constellation, dénommée Spica (épi en latin).
Les premières publications de Roland Lafitte datent de l'an 2000 après JC. Elles révélaient une mystification susceptible d'intéresser les lecteurs de Dan Brown, si l'on restait superficiellement à la surface de sa communication scientifique. En effet, la région dans laquelle naquit la mère du prêcheur, Marie, est aussi celle de ces araméens du nord propagateurs des transcriptions babyloniennes dans l'empire romain, et le pourtour méditerranéen.
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Suite de l'article à lire sur Astroemail n° 85, février 2010